Un système social mis à mal

30.06.2023

Un chômeur sur deux est un immigré

Parmi les personnes qui perçoivent des allocations chômage, bien plus de 50% sont des immigrés, alors qu’ils ne représentent que 26% de l’ensemble de la population[1]. En raison de la générosité des prestations sociales, le regroupement familial est largement utilisé par les immigrés sans revenus, qui sont alors financés par les contribuables suisses. Les immigrés qui ont à peine cotisé jusqu’ici ont également droit à des allocations chômage. Le montant de l’aide sociale est aussi élevé pour les immigrés que pour la population suisse. Des immigrés qui peuvent également faire venir des « membres de la famille » qui dépassent largement leur noyau familial. Et ce, même s’ils ne peuvent pas subvenir à leurs besoins et ne disposent pas d’un logement suffisamment grand et qu’ils soient à même de financer eux-mêmes pour accueillir leur famille. En outre, le Parlement veut aller encore plus loin et ne plus expulser du tout les immigrés bénéficiant de l’aide sociale[2].

 L’assurance-chômage (AC) est également en train de couler. Alors que le rapport entre les cotisations AC et les indemnités de chômage est de 1,31 pour les Suisses, il est de 0,78 pour les immigrés en provenance de l’UE, et même de 0,38 pour ceux en provenance de pays tiers. Cette évolution est préoccupante, car nos assurances sociales, mises en place au cours de décennies de dur labeur, sont ainsi constamment érodées par l’immigration[3]. Si vous souhaitez mettre un terme à la mise à la situation catastrophique de nos assurances sociales, signez l’initiative pour la durabilité !

Rapport de l’Observatoire sur la libre circulation des personnes entre la Suisse et l’UE, p. 63.

[1] Source : SECO.
[2] Initiative parlementaire 20.451, présentée par Samira Marti (PS) «La pauvreté n’est pas un crime».
[3] Source : OFAS (comptes individuels de l’AVS), SECO.